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    MATERIALISATION CONCRETE DE L'AMOUR PLANETAIRE
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    Vidéo réalisée par Irene frain

     

     

    LA FORÊT DES 29   

    LE SITE OFFICIEL D IRENE FRAIN

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    Les Bishnoïs

    Ils ne coupent jamais un arbre et poursuivent en justice ceux qui font du mal aux animaux, même sauvages. Cette communauté qui vit principalement au Rajasthan donne au monde la formidable leçon d'une existence en complète harmonie avec la nature.

    Au XVIIIème siècle, au Rajasthan, Amrita Devi est alertée par le bruit d'un arbre que l'on abat pour quelque raison officielle. En tentant de s'interposer, la jeune femme et ses filles sont tuées par les soldats.

    Les habitants décident alors que pour chaque arbre coupé, l'un d'entre eux donnera sa vie. Au total, 363 membres de la communauté mourront avant que ne cesse l'abattage. Face au courage des villageois, le Maharadjah ordonne un décret royal interdisant toute chasse et toute déforestation sur les terres des Bishnoïs.

    Le sacrifice des Bishnoïs repose sur les 29 principes écologiques édictés par Jangeshwar Bahvan ou Jambho Ji qui sanctifient l'environnement. Au milieu du XVème siècle, il s'alarma des massacres d'antilopes par les villageois affamés par la grande sécheresse. Il eut alors, dans le désert, une fulgurante illumination sur l'interdépendance de tous les êtres vivants et sur le fait que l'âme revêtait divers corps dans sa marche vers la libération.

    Depuis, le Bishnoïsme est devenue une forme religieuse de non-violence dont les adeptes vivent paisiblement dans des villages isolés loin des centres de peuplement, et sont environ sept millions en Inde.

    Les principes bishnoïstes se matérialisent au quotidien par diverses décisions:

    -Les membres sont végétariens,

    -Ils n'incinèrent pas leurs morts, mais les enterrent, afin de ne pas couper d'arbres pour le feu de la crémation.

    -Les feux sacrés sont allumés dans la journée pour éviter que les insectes ne périssent dans les flammes.

    -Ces remarquables jardiniers ont également mis en place une sorte d'"écotaxe": ils sont en effet tenus de réserver un dixième de leur récolte céréalière pour l'alimentation de la faune locale ; les femmes bishnoï allant même jusqu'à donner le sein aux faons orphelins. Ces préceptes expliquent la présence d'un Eden vert et fertile dans cette région aride.

    Pour plus d'informations:

    http://www.bishnoi.org

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bishno%C3%AF

    http://www.lepost.fr/article/2010/01/06/1872879_les-bishnois.html


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    La fascination des biens matériels

     Vijayânanda trouve cette histoire si importante qu’il dit en souriant qu’on devrait l’afficher dans toutes les chambres de tous les âshram 

                                LES RESEAUX AU SERVICE DE LA CREATION D'ECOLIEUX

     Il était une fois un guru qui avait un très bon disciple, un brahmacharin qui était inspiré par l’esprit de renoncement: il ne possédait rien, si ce n’est un ‘kupinam’ (un caleçon). Un jour, son guru lui dit: « Tu vas te rendre dans un endroit isolé pour l’y consacrer à la méditation. Je te donnerai un mantra et je viendrai voir dans quelques années comment ça va. » Alors notre jeune homme est parti et s’est mis à pratiquer la méditation selon les instructions de son guru. Son programme journalier était le suivant: le matin il se levait, lavait son kupinam, le faisait sécher sur l’herbe, puis commençait sa méditation. Ensuite, vêtu de son seul kupinam, il allait au village pour mendier sa nourriture; il revenait pour le repas et s’asseyait de nouveau pour la méditation. Un jour, un rat ou une souris fit des trous dans son kupinam. Notre brahmacharin était désespéré; c’était sa seule possession. Il l’a raccommodé tant bien que mal et, en mendiant sa nourriture au village, il a dit aux gens qu’il n’avait plus de kupinam. Les villageois lui dirent: « Cela ne fait rien, on va te donner un autre kupinam ! » Ainsi fut fait. Il était tout à fait heureux avec son nouveau kupinam, et il a recommencé son programme journalier. Quelques jours après, la même histoire s’est reproduite. Une souris a de nouveau fait des trous à son kupinam; il va de nouveau au village et redemande un kupinam que les villageois lui ont volontiers donné. Cette histoire est arrivée deux ou trois fois. Finalement, les gens se sont fatigués et lui ont dit: « Bâbâ, on ne va pas te donner tous les jours un nouveau kupinam ! On va te donner un chat, tu le garderas près de toi, le chat chassera les souris et celles-ci ne viendront plus manger ton kupinam ! » Le brahmachârin a alors emmené son chat, et les souris se sont éloignées. Il était tout heureux, son kupinam n’était plus déchiré par les souris. Seulement voilà, il y avait un autre problème. Il fallait nourrir le chat, lui donner du lait. De ce fait, quand il allait au village, il demandait aux gens: « S’il vous plaît, donnez-moi aussi un peu de lait pour mon chat. » Les villageois lui ont donné volontiers du lait pour le chat. Cela s’est reproduit plusieurs jours, pendant une semaine ou deux, et les villageois ont fini par se fatiguer. « Eh, Bâbâ, on ne va pas te donner tous les jours du lait ! On va te donner une vache, tu vas la traire et tu auras du lait pour nourrir ton chat. » Alors il a emmené la vache, a appris à la traire et ainsi il a eu du lait tous les jours pour lui et pour son chat. Mais un nouveau problème est apparu: il fallait nourrir la vache. Quand il allait mendier, il demandait aux villageois de lui donner du foin pour nourrir sa vache. Les villageois lui ont d’abord donné du foin, puis finalement se sont lassés et lui ont dit: « Eh, Bâbâ, on ne va pas toujours te donner du foin ! Il y a des terres en friche près de ton âshram. Tu vas les cultiver, on va te donner du blé à semer, il va pousser, tu auras du blé pour faire tes roti (Roti, galette de froment), et tu auras de la paille pour ta vache. Alors il a dit oui, car il était obéissant et très influençable, comme beaucoup de brahmachârin et de sâdhu. Il a fait cela, récolté son blé, en a semé une partie à nouveau, a commencé à stocker de la paille. Finalement, au cours des années, il n’a plus pu faire le travail lui-même. Il a dû demander aux villageois des hommes pour l’aider. Au début, ils lui en ont donné, mais après ils lui ont dit: « Bâbâ, on va te donner une femme, tu vas te marier avec elle, elle t’aidera, elle te donnera des enfants et les enfants t’aideront à leur tour. » C’est ce qu’il a fait, et petit à petit son âshram s’est transformé en une grande propriété, avec des greniers pour le foin et le blé, des ouvriers comme dans une entreprise. Un jour, son guru est venu. Il a vu la ferme, avec des gens occupés à droite et à gauche. Il a demandé à un homme: « Dis donc, j’avais mis un brahmachârin ici, qu’est-il devenu ? Est-il parti ? » L’homme répondit: « Non, non, il est debout là-bas. » Notre brahmachârin était habillé comme tout le monde, il donnait des ordres à ses ouvriers. Son guru s’est approché de lui. Quand le brahmachârin l’a vu, il est tombé à genoux et a dit: « Guruji, regardez ! Tout ça, c’est à cause d’un kupinam ! »

     

    Nous trouvons cette histoire riche de reflexion, aussi nous l'affichons à notre tour dans notre temple du net ; Nous l'avons extraite du site :

    http://sourcevoyance.com/avec-son-coeur/2507/la-fascination-des-biens-materiels.html#more-2507

    DIAPORAMA

    Télécharger « mod_article2773958_1.pps »

    Nous vous invitons à visionner ce diaporama qui est une très belle illustration permettant de poursuivre cette reflexion


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    La parole à grandir du jour
    « Si l'on m'annonçait que la fin du monde est pour demain je planterais quend même un pommier »

    Martin LUTHER

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  • constellation taureau

    EN PAYS DU TAUREAU , LA TERRE ET URANUS S'HARMONISENT ET DONNENT A L'HUMAIN L'ASSISE NECESSAIRE A LA RECEPTION DES ENERGIES COSMIQUES.


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